vendredi 28 novembre 2008

Misfits thanksgiving







Jeudi 27 Novembre, dans notre immeuble nous avons fêté Thanksgiving de façon un peu particulière..... Aux Etats Unis, cette fête est célébrée en automne, à l'origine pour remercier le ciel après les moissons. C'est surtout l'occasion pour les américains de se retrouver en famille, autour d'un copieux repas, et surtout d'une
énorme DINDE.... Nous avons donc formé un petit groupe franco-américain







Sur ces deux photos, Steve (en haut) le manager de notre immeuble et Martin (en bas) door man la nuit et enseignant le jour (et oui c'est aussi ça les US, deux boulots ou plus pour essayer de survivre), les deux principales personnes à l'initative de cette soirée...



... qui a ainsi rassemblé presque tous les résidents francophones de notre immeuble, et quelques américains qui n'ont pu rentrer dans leur famille. Cette soirée a ainsi permis que les "expatriés" ne se sentent pas trop seuls ce soir là. Merci Steve et Martin.


lundi 24 novembre 2008

Comment croquer la grosse pomme



Début du week end new-yorkais sous le signe du shopping,
un petit lutin perdu chez Macy's...



...après quelques difficultés à trouver le bon rayon..



a enfin localisé les vetements de circonstance !



Les coiffeurs new yorkais dans le quartier du Meatpacking
sont très rock'n roll : une explication (photo à l'appui)....



un bon fauteuil de barbier....



une serviette chaude en fin de coupe



eh hop, le tour est joué !



Il faut dire que l'ancien patron a coiffé Al Pacino,
alors évidemment, ça force le respect...



Meatpacking, toujours, et ses boutiques de luxe
ici le magasin de Stella Mc Cartney, fille de qui vous savez.
Ce quartier est aussi le lieu de passage de nombreuses
célébrités, dont certaines nantaises...






Ce week end fut aussi pour nous l'occasion de découvrir
le nouveau musée d'art contemporain située entre Soho et le Lower East Side.

Lieu magique proche de l'esprit du Palais de Tokyo.



Ci dessus les néons pop des toilettes qui déclinent la philosophie du lieu.



Ensuite l'ascenceur et ses murs vert pomme.



Enfin le toit, espace baigné de lumière, et sa terrasse
panoramique.

















Même après plusieurs visites, l'émotion procurée
par la ville reste intacte.

















Le froid oblige à des choix vestimentaires
prioritaires au détriment d'une certaine forme de dignité...



...en plus de certains reflexes rudimentaires de survie



Rendez-vous samedi soir sur le toit du "fifth", bar recommandé
pour sa vue imprenable sur l'Empire State Building



Au prix d'une petite hypothermie, jugulée à l'aide de
coquettes peaux de chamois







Enfin l'heure est au rechauffement dans l'ambiance feutrée
d'un petit bar de Manhattan


dimanche 23 novembre 2008

Instinct grégaire



Levée d'isolement par un premier dîner à la française dans notre appartement : Héloïse et Valérie, fraîchement arrivées dans la résidence, sont nos invitées. Comme nous, elles n'ont qu'une seule bonne raison d'être à Baltimore : le Johns Hopkins !

lundi 17 novembre 2008

The streets of Philadelphia





Après un trajet en bus d'environ 1H30, nous avons rejoint Philadephie au nord Est de Baltimore. Cinquième plus grande ville des Etats Unis, Philly jouit d'un passé riche et d'une vie culturelle intense.





Les hôtels du centre ne sont pas mal non plus bien qu'un peu bruyants le samedi soir...





Par un temps un peu gris et un vent saisissant, nous avons découvert une ville que l'on rapprocherait assez facilement de New York pour ses petits quartiers avec boutiques de mode









et restaurants branchés..





Les buldings sont toutefois moins hauts rapprochant la physionomie de la ville de celle d'une capitale européenne



On s'est donc aussi un peu "cultivé" en découvrant émerveillés la fabuleuse Fondation Barnes - riche médecin décédé dans les années 1950- et laissant derrière lui une collection incomparable de Cézanne, Matisse, Renoir, Soutine, Modigliani, Picasso,Van Gogh. Chaque mur de chaque salle de cette demeure bourgeoise exhibe au bas mot une dizaine d'oeuvres, si bien que la densité artistique nous donne presque le sentiment frustrant de ne pas pouvoir apprécier chaque oeuvre à sa juste valeur.
C'est certain, il faut revenir une 2e fois pour "digérer" la totalité de la collection (qui, précisons-le, contient également des tableaux religieux de primitifs italiens du XVe - ça c'est pour moi, Jérôme n'ayant aucune inclinaison pour ce genre de peinture qui le laisse de marbre....)






Un seul reproche : la Fondation est située dans une petite ville en bordure de Philadelphie (à Merion plus exactement) située à 20 mn de RER du centre; eh bien croyez-le ou non, lorsque vous descendez à la petite station champêtre de Mérion, aucune indication sur la direction à prendre pour rejoindre le musée. Et jusqu'au bout, après 20 mn de marche en priant pour avoir pris la bonne direction, aucun fléchage !!!